Dutilleul9 a écrit:Non mais il y a des limites et comparer un ours à un moustique est trop facile pour se dédouaner du mal que l'on fait subir aux animaux.
J'ai dit que je ne pouvais pas intervenir efficacement sur le mal qui est fait aux animaux dans un autre continent.
Mais ma réaction est sur l'écrit "absence de crainte des animaux" que je considère comme une idéalisation du monde animal "naturel" distingué arbitrairement du monde humain "artificiel".
Je poursuis après Pascal et ses "mignons rongeurs":
En effet, pour les maladies transmises, il faut parfois plus craindre les "petites bêtes " que les grosses. Mais les canadiens qui connaissent bien la nature savent aussi qu'il faut avoir peur des grosses également
voir
https://www.bfmtv.com/international/can ... 52295.htmlAutre question inspirée de l'actualité: est ce que la démarche d'un chinois qui achète de la bile d'ours, n'a pas quelques points communs avec la notre qui attendons des médicaments plus modernes?
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Je pense que, si nous pouvons respecter au maximum les animaux, pas plus que nos ancêtres, nous ne pouvons complètement éviter de les utiliser parfois et ils font partie du mème écosystème global que nous, donc nous ne pouvons distinguer complètement un territoire naturel (des animaux) et un territoire des humains.
Effectivement Bino-boni, le lien entre le corona virus et le trafic des animaux peut aller dans différents sens...
Je voulais surtout dire qu'il ne faut pas détourner des phénomènes par idéologie.