Wouazo, c'était de la paille, chez vous, nous c'était des troncs de chataigniers avec une pierre dessus et pareil, un croisillon en bois. Il y en a encore qq'1 ici mais ils sont considérés comme des dinosaures
. Je n'incrimine pas les apiculteurs amateurs ou familiaux, j'trouve juste qu'ils ne se posent pas trop de questions dans mon coin du moins. Un exemple : le frelon asiatique. Il y a eu une campagne d'agitation chez les api-amateurs sur la pose de piéges pour les éliminer. localement, meme si ce n'est pas si loin que ça de certaines zones infestées,
il n'y a pas de F.'asiatique" mais il y a une tres grosse population de frelons d'europe qui font les frais de la campagne "anti frelon", et question surement tres bête...Si on fait diminuer la population de frelon d'europe ne risque t-on pas de facilité l'avancée de celui d'asie (par manque de prédateurs). Car le frelon d'europe, il en mange des abeilles, guepes et autres. j'l'ai vu de mes yeux, vu !
http://www.frelon-asiatique.com/asie/conception-piege-frelon.htmlLes apiculteurs pro ils arrivent avec des centaines de ruches au moment du chataignier.Normal, c'est leur métier. C'est la transhumance et les abeilles locales, quelles soient domestiques ou sauvages, je crois (sans rien pouvoir prouver) quelles en patissent. Surpopulation d'un seul coup (il y a des pillages de ruche à ce moment là, c'est comme ça qu'on sait quelles sont arrivées), des abeilles plus agressives (le matin au petit déj
), apport de maladie, parasites,ect...oui, mais comment faire ? alors on discute, on cherche a s'organiser. Associations de jardiniers qui sement des plantes mellifères locales, se forment et s'informent. Mais la technologie va plus vite que la parole, peut être ne nous sommes nous pas concerté assez tot ? Tant pis, on essaye quand meme.
L.