Gracias Christian y Florent por vuestras palabras de ánimo. Es muy agradable, si trabajas aislado, encontrar un sitio como Le Naturaliste para compartir experiencias
con gente que tiene aficiones comunes.
En las preparaciones histológicas de insectos, utilizo los protocolos habituales en histologia animal: fijación, deshidratación, cortes en parafina, etc. La disección, si el animal es de pequeña talla, puede resultar un poco enervante, para localizar y extraer el órgano que interesa y no equivocarte.
En el caso de hormigas, Florent, una disección debe ser un poco dificil (no quiero pensarlo!!). Has probado hacer el proceso por partes? separando cabeza, abdomen, etc. Es posible que así sea más fácil la penetración de los reactivos. Para hacer los cortes, supongo que es necesario disponer de un buen micrótomo tipo Minot, dada la dureza de la quitina.
En materiales de dificil penetración, he ensayado disminuir la presión en el recipiente al principio de cada cambio de reactivo (fijador, alcoholes, etc.) hasta la parafina. Al dismuir la presión se provoca la expansión y salida de los líquidos del cuerpo del animal y al volver a presión normal, son sustituidos por el reactivo correspondiente. Lo he aplicado en tejidos momificados humanos (con propiedades impermeables) y ha funcionado bien. Para dismuir la presión, empleo un aparato domestico, que se emplea para conservar el café (sin perder el aroma) i tiene un embolo que extrae el aire del recipiente. El grado de vacío es moderado, pero suficiente, sin perjudicar el material tratado. Tiene el inconveniente de ser de plástico y los vapores de tolueno, lo vuelven opaco, en vidrio seria mejor.
Perdon por la excesiva extensión del discurso.
Merci Christian et Florent par vos mots d'encouragement. Il est très agréable, si tu travailles isolé, trouver un endroit comme Le Naturaliste pour partager des expériences avec les gens qui ont des penchants communs.
Dans les préparations histologiques d'insectes, j'utilise les protocoles habituels dans une histologie animale : fixation, déshydratation, des coupes) dans le paraffine, etc.. La dissection, si l'animal est d'une petite taille, peut résulter un peu d'enervante,pour localiser et pour extraire l'organe qui intéresse et pour ne pas te tromper.
Dans le cas de fourmis, Florent, une dissection doit être un peu difficile (je ne veux pas le penser!!). As-tu essayé faire le procès par des parties? en séparant le tête, l'abdomen, etc.. Il est possible qu'ainsi la pénétration des réactifs est plus facile. Pour faire les coupes, je suppose que la dureté du quitina soit nécessaire de disposer d'un bon micrótomo un type Minot.
Dans des matériels de difficile pénétration, j'ai essayé diminuer la pression dans le récipient au début de chaque changement de réactif (un fixateur, alcoolise, etc..) jusqu'à la paraffine. Au dismuir la pression provoque l'expansion et la sortie des liquides du corps de l'animal et après être revenu sous une pression normale, ils sont substitués par le réactif correspondant. Je l'ai appliqué dans des tissus momifiés humains (avec des propriétés imperméables) et a fonctionné bien.
Pour dismuir la pression, j'emploie un appareil domestique, qui s'emploie pour conserver le café (sans perdre le parfum) i, il a un piston qui extrait l'air du récipient. Le degré de vide est modéré, mais suffisant, sans nuire le matériel traité. Il(elle) a l'inconvénient d'être d'un plastique et les vapeurs de toluène, le rendent opaque, dans un verre serait meilleur.
Un pardon par l'étendue excessive du discours.