@Jean François,
le décorticage du fonctionnement des automatismes m'intéresse pour savoir quand passer outre, mais en tout cas, il n'y a pas besoin de calculs pour faire des photos.
Il ne faut pas considérer la profondeur de champ comme un domaine défini et à bords nets. Il dépend en fait de l'observateur et du mode de visionnement. D'autre part, il y a continuum entre le net et le flou.
Dans ce contexte, plutôt que de rechercher un "PPN" et un "DPN", je préfère encadrer avec débordement le bracketing.
De mème, en choisissant un différentiel plus bas que nécessaire, je permet plus de superposition entre les images successives.
(Fred pousse cette logique au différentiel de 1 avec son perfectionnisme habituel)
(Cela est bien supporté par les logiciels, le problème est plutôt celui de la durée de la série complète et du risque de décalage du au vent plus important en extérieur)
Pour la différence 30/60mm, je ne sais pas si pour toi la modestie est la taille, ou le prix? A mon avis la qualité est identique, le 60mm a un rendu plus naturel des perspectives, plus de distance de travail alors que le 30 a un grandissement max supérieur (mais peu utilisable en pratique).
Je préfère toujours parler en grandissement sur le capteur plutôt qu'en grandissement équivalent 24x36.
Sinon, on peut dire qu'un 24x36 recadré peut aussi doubler son grandissement!!!!
En ce qui concerne les limites du "grandissement vide", Elles seraient à définir avec une règle simple (du genre des 1000 fois l'O.N. pour le grossissement en microscopie, mais la variété des capteurs rend le problème plus complexe).
@Fred
le différentiel de 1 ne te conduit il pas à des piles trop importantes?
n'as tu pas des problèmes de vent qui empêchent une zédification propre? (comme Frank Ruckert)
Juste une image de pâquerette cet après midi en extérieur dans mon jardin; 60mm f:2,8 au rapport 1/2 approximatif; 36 images, diff. 3; il y a des défauts dus au vent...
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2020-03-22 Bellis1-2x(C)430-466r.jpg (285.6 Kio) Vu 4792 fois