Chaque marque avait sa conception. En 42 à vis il fallait généralement pousser un téton en bas de l'objo pour fermer le diaph.
Chez Nikon le diaph se ferme automatiquement en tournant la bague. une fois l'objectif monté sur le boitier une came repousse un ergot sur l'objectif, ce qui maintient le diaph ouvert. la came s'abaisse lors du déclenchement, ce qui permet au diaphragme de se fermer à la valeur sélectionnée.
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P1060926.jpg (122.9 Kio) Vu 4350 fois
On voit l'ergot à droite
Sur les soufflets PB-4 et PB-5, on pouvait monter l'objectif directement (on travaillait alors à diaphragme réel) ou par l'intermédiaire d'une bague BR-4 (avec un déclencheur double). on gardait alors la visée à pleine ouverture, le diaphragme ne se fermait que lors du déclenchement. Sur le soufflet le plus récent de la gamme le mécanisme est intégré à la platine frontale (voir
http://35mm-compact.com/forum/viewtopic ... 21&t=52272 )
La bague BR-4 a une baïonnette mâle et une baïonnette femelle et peut donc être utilisée en position normale, pour monter l'objectif sur le soufflet, ou en position inversée. il existait aussi une bague BR-3 qui ne pouvait être utilisée qu'en position inversée et ne pouvait pas être montée sur le soufflet : en effet à la place de la monture mâle, il y a un filetage qui permet de visser un filtre (polariseur, filtre de couleur pour le noir et blanc, etc...).
Pascal
Olympus VM-Z, Olympus SZH-10.
Zeiss Luminar 16, 25, 40 et 63mm - JML20x - Bausch & Lomb 50x - Nikon ELWD plan 5x, 10x, 40x et 60x - EL-Nikkor 80 et 105mm
Soufflets Nikon PB-6 + PB-6E - Nikon D1x, D5100, D3300