Bonjour.
Une nouvelle série de tests avec du matériel prêté par Alain (Maraussan), contre celui que je peux avoir.
Encore une fois, j'ai essayé deux ou trois choses, mais la rigueur manque un peu et tout n'a pas été essayé.
Au cours de mes essais du Componon 28 (ou le Rodagon 28), j'ai pu voir qu'en modifiant le tirage du soufflet, on avait quand même pas mal de latitude quand au champ couvert. Je n'ai plus mon boy avec papier millimétré pour faire des mesures (penser à emprunter un de nouveau au labo), mais c'est une caractéristique intéressante, moins figeante qu'avec des objectifs de microscope (a fortiori si ceux-ci sont à l'infini)
En comprimant le soufflet à fond, sur une infrutescence d'Ascelpias, on obtient ce genre de cadrage
En mettant un objectif d'agrandisseur avec une focale de 50 mm, en étirant le soufflet à fond, on retrouve un cadrage similaire, mais on gagne un peu en distance entre la lentille frontale et le sujet (entre 1 et 2 cm de plus).
Pour les deux objectifs utilisés dans ce test, il y a :
- le Schneider Kreuznach Componon 50 f/4
(ce design des lames du diaphragme semblent être la signature des Componon)
- le Nikkor EL 50 f/2,8 (mais je ne sais pas si c'est une version "N")
(je l'ai eu à vil prix - une 20aine d'euros - mais il y avait des cochonneries à l'intérieur - j'ai réussi à en virer quelques unes mais il en reste entre deux lentilles... je viens de commander un spanner pour régler le problème)
Ces deux objectifs sont en position normale au bout du soufflet (et pas en position inversée)
Le Nikkor est réputé (semble être).
Mes quelques essais préalables ne m'avaient pas plus emballé que ça.
peut-être à cause de ses poussières internes...