Jean-Marie,
bonsoir et un grand merci.
Tes précisions m'ont permis de comprendre enfin ce que tu avais écrit antérieurement.
Je n'avais pas du tout saisi cette histoire de LT (lentille de tube ou téléobjectif) de 300mm de focale Eq (Equivalent) rapporté à un capteur FF (Full-Frame). On est donc bien d'accord, le rapport (et pas la focale) doit rester semblable selon la variation éventuelle de la taille du capteur utilisé (APS-C, APS-H, micro 4/3...).
Quant à la méthodologie de Frédéric Hède (alias Ploum ou Tempo), de doubles déplacements successifs (d’où le concept de double rampe ?), je ne la comprend pas, tout en clamant haut et fort que cela ne constitue absolument pas une critique. Pour la simple raison que je n'ai aucune expérience en pdv micro-minéralogique, et aucune connaissance poussée en cristallographie. Hors, la finalité peut dicter le process. Et je n'ai actuellement ni la disponibilité ni le besoin de la reconstituer expérimentalement.
J'ai néanmoins pris un minimum de temps pour consulter ses derniers travaux des années 2017 et 2018, les photographies sont absolument remarquables, tant en définition, contraste, maitrise de l'illumination et post-traitements. Les halos présents sur les pdv antérieures semblent plus être le fait de structures cristallographiques fines, abondantes et complexes, en 3D. Les logiciels de stacking ont vraisemblablement certaines limites.
Reste à comparer les techniques des uns et des autres. Pas simple.
Jojm, avec son hybride micro 4/3 Olympus OM-D en mode focus-bracketing + zoom Olympus PRO ED 40-150 + multiplicateur MC-1.4x + optique de microscope infini Nikon CFI 4x ou 10x s'en sort remarquablement bien. Si j'ai bien compris, la couverture est assurée à la focale équivalente de 160mm, donc 160/1.4= zoom réglé à l'infini sur 114mm. Notons que cette focale fixe, de près ou de loin, n'est pas offerte par Olympus.
En fait, les différences des micro-minéraux doivent conditionner l'optimisation d'une technique vis à vis d'une autre.