Malpertuis a écrit:la longueur du pas est limitée à 1 ...quoi? 1 mm ?, je ne comprends pas trop.
A Simbad de préciser ce point. On peut penser à un pas du moteur de l'autofocus.
si l'objectif n'a comme les modèles anciens qu'une mise au point sur une rampe hélicoidale. Ce pas va correspondre à une distance de déplacement du groupe de lentilles.
On est alors dans la mème problèmatique qu'avec un charriot, sauf que l'on ne peut pas utiliser un moyen mécanique (engrenages...) pour diminuer le pas.
Par contre avec les objectifs à mise au point interne et qui déplacent plusieurs groupes de lentille, il devient très difficile de faire correspondre un pas du moteur à un déplacement de la zone de focalisation...
Malpertuis a écrit:Cet avantage supplémentaire pour la méthode de déplacement est-il vraiment à mettre dans la balance étant donné le surplus non négligeable d'investissement pour ce type de mécanisme ?
La réponse découle de ma réponse précédante (10 aout):
"La question du mode de focalisation en zedification mériterait un sujet à part. Mais en résumé:
- en photo générale et en proxi (grappe de raisins), la rotation de la bague de l'objectif est à conseiller
- en macro (coccinelle) , il est préférable d'utiliser un charriot. "
Donc: En photo générale, la méthode du déplacement de l'ensemble appareil + objectif est inapplicable (sauf à installer des rails de travelling comme les cinéastes!). Il ne reste que la possibilité de tourner la bague de l'objectif.
En proxi, le rail de mise au point risque de générer des problèmes du fait du changement de perspective lié au déplacement de l'objectif et donc de son diaphragme. Le déplacement de la bague de l'objectif en style "Hyperfocus" de Philippe MArtin est le seul à recommander.
(on pourrait toutefois utiliser avec un dispositif à soufflet le déplacement du cadre arrière du soufflet avec le capteur, l'objectif restant fixe par rapport au sujet. )
Dans ces 2 cas pas besoin d'investir dans un charriot.
Par contre, en vraie macro, la méthode du déplacement de l'ensemble boitier + optique par rapport au sujet, est la seule applicable. Donc l'investissement dans un charriot de mise au point est indispensable. Mais de la mème façon que l'on peut tourner manuellement la bague de mise au point d'un objectif, on peut utiliser un système de rail non motorisé pour éviter l'investissement dans un stackshot. (la réalisation d'un montage type stepduino est de cout intermédiaire et donne une automatisation...)
Malpertuis a écrit:Qu'en serait-il si le choix du boîtier devait être orienté vers un COI du type Nex ? (Cf. Daniel)
La problèmatique est la mème. Il faut juste disposer pour la proxi sur le COI d'une interface qui agit sur le moteur autofocus de l'objectif.
Il semble par exemple que les Sony nex disposent d'un mode de controle à distance grace à une tablette par Wifi. Est ce qu'un utilisateur pourrait nous confirmer que le pilotage de la mise au point est ainsi possible avec une tablette à distance de l'appareil?