Bonjour,
Ma grand-mère ( née en 1889 ! ), me disait, gamin, que l'abeille "savait" qu'elle perdait la vie après avoir piqué, puisque les ardillons, une fois le dard planté dans l'agresseur, ne lui permettaient pas de le retirer, ce qui la condamnait à l'arrachage de la poche à venin, donc à une mutilation fatale. Cela aurait expliqué un plus grand calme que chez une guêpe vis à vis d'un agresseur potentiel, celle-ci gardant son dard. ..
À noter que j'ai bien mis "savait" entre guillemets !