Bonjour Yves et tous,
le tout c'est de savoir attendre avec l'espoir chevillé au corps. Alors, pendant que tu trempouillais tes pieds dans les eaux tourbeuses celtes, je suis tombé sur notre fugitive vision (un de ses frères).
Encore une fois merci à cette façon consistant à compenser l'évaporation de l'eau par du liquide glycériné ce qui permet de faire durer la lame plusieurs jours tout en améliorant l'observation (en plus, plus personne ne bouge et ce qui était vivant décède en ayant absorbé un coup de gnole... même si ce n'est pas du Laphroaig).
Or donc hier j'ai vu la bestiole, l'ai photographiée pour, aujourd'hui, chercher à la déterminer.
Bouquin donne
Cephalodella sp, internet apporte la précision en pointant les épines que je n'avais pas remarquées de prime abord, de là re-photos ciblées avec le x40 multiplié par 1,5 et confirmation de
Cephalodella forficula.
Tout content je regarde sur LN pour voir si quelqu'un n'avait pas déjà posté, pour tomber sur ton post d'il y a 3 semaines !
Précision : prélèvement de touffe de
Nitella sp dans un étang de Lenhélin (22) effectué le 2 juillet et observé 27,28,29 juillet. Milieu d'observation : liquide glycériné. Prélèvement qui a tenu le coup qq jours et a résisté à 700 km de voyage à moto (mis au frais à chaque fois que possible) !
Peut-être qu'un charmant homme autorisé pourrait modifier le titre du post.
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