Bonjour,
je ne voulais pas intervenir sur ce sujet qui à mon avis ne peut être résolu car il n'y a pas de morale commune à tous les humains. La notion de perversité est subjective.
Comme dirigeant, j'attendrais pour interdire les corridas qu'une majorité importante en faveur de l'interdiction apparaisse.
Et puis j'ai entendu en écho vendredi sur france inter Frédéric Fromet sur "la mort du torero Fandinio"
https://www.franceinter.fr/emissions/la ... -juin-2017Et je vous fait partager ce lien car je permet plus facilement à un humoriste dont j'apprécie par ailleurs souvent les chansonnettes parodiques et caustiques de se moquer de la mort d'un homme. (mais ne trouvez vous pas qu'il a fait un peu fort avec le devenir des couilles et la transformation en chorizo?? )
Je suis de l'avis de Gele: "mettre en balance la vie d'un homme et celle d'un taureau c'est stupide "
Je suis aussi d'accord avec lui pour ne pas transformer les "faits" scientifiques en arguments politiques ou moraux.
Je ne partage pas son cynisme. Mais je pense que la morale ne dépend que de choix individuels et que les lois résultant en France du jeu politique démocratique, pour l'instant, il n'y a pas d'interdiction des corridas... (en fait je ne pense pas que les défenseurs des corridas forment un groupe majoritaire en France, mais c'est une minorité agissante que ne veut pas affronter le législateur qui utilise l'argument d'une "tradition ininterrompue" pour ne pas appliquer les dispositions européennes sur le "bien être animal". )