Pierre,
C'est une Greenough. Et à la lecture de cet
article, ce n'est pas très bon. Oups, ça commence mal !
Ensuite, grandissement, microscopie, macroscopie : j'ai beaucoup beaucoup lu, mais je t'assure que je reste réfractaire à ce pan de la connaissance, parce que j'ai toujours été mauvais (et je n'aime pas ça) en géométrie, physique et optique, alors même que j'aime la nature et j'ai toujours été désireux de comprendre les choses. Et ce n'est pas faute d'avoir essayé. Peut-être est-ce paradoxal, mais c'est ainsi.
J'ai lu par exemple plusieurs fois
cet article, sans succès ! Pourtant, le schéma et les explications de Daniel sont passionnants, tout comme la discussion, mais ça ne passe pas ! Je manque clairement de bases, que je n'ai pas envie d'apprendre. La théorie est trop lourde, du concret avec des schémas ajoutés sur des photos de matériel seraient l'idéal.
Par contre, ce que j'ai bien compris, c'est la nécessité de faire du stacking : très logique !
Et que l'objectif est le moteur principal, c'est également très clair !
Ce qui ne l'est absolument pas, c'est Olympus : pas un mot sur l'objectif contenu -caché, oserais-je même dire- au coeur de la bino. Je ne sais rien de lui. Il y a juste un petit paragraphe sur "emploi de l'objectif de conversion optionnel", qui se visse sur le filetage situé en bas du corps de la bino. C'est tout !
A propos, ma vendeuse vient justement de m'envoyer par chronopost le fameux objectif de conversion que je ne trouvais pas (100AL 2x), qu'elle a retrouvé. Je crois que c'est Daniel qui m'avait écrit que c'était une sorte de "bonnette" : je vais alors avoir une idée de ce que peut donner un grossissement x2 de l'ensemble !
Ce qui est sûr, c'est que la qualité de cette bino est très très bonne, et que j'ai bien du mal à la quitter une fois parti en promenade sur un tas de sable, ou tout simplement sur la surface d'un gros caillou. Comme c'est beau !
La photo devient donc clairement mon prochain cheval de bataille, car j'ai envie de partager mes observations. Je suis ainsi, on ne se refait pas. Par exemple, j'adore voyager, mais je ne peux pas m'empêcher d'écrire des compte-rendus et de partager ce que j'ai vu. C'est ma façon d'apprécier les choses, une sorte de graal. On ne se refait pas. J'ai hâte d'écrire des articles ici sur le sable de mes plages, mais je ne peux le faire sans reproduire par l'image ce que je vois.
Je suis persuadé que vous m'aiderez à choisir le matériel adéquate, le juste milieu entre coût et possibilités. Je sais que ce sera compliqué, mais quand on veut...