L'utilisation du GPS

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Re: L'utilisation du GPS

Messagede PierreM » 20 Sep 2011 01:27

Bonsoir à tous

Wouazo a écrit:Pour la grille UTM, en chargement, je n’ai rien compris. Ce sont 12 grilles identiques pour carte au 1 : 25000. Aucune inspiration pour l’utilisation.
Sur une carte au 1 : 25000, je vais tracer l’abscisse est l’ordonnée de mon point en les rapportant sur les échelles en marge. Sachant que pour la latitude, 0,86 mm représente 1’’ et pour la longitude, 1,2 mm représente 1’’ Si c’est juste ? aux erreurs près dues à l’épaisseur des traits, des mesures que je fais etc. Je veux me rendre à un chalet forestier qui est à 608 mètres d’altitude, je ne vais pas le louper. Maintenant localiser avec précision une plante, au mètre près, sur une 1 : 25000, c’est non. Il faut utiliser la codification du carroyage UTM dite « MGRS ». Ce système est employé par les artilleurs, qui ont une confiance très limitée, dans l’utilisation du GPS.


On a un carroyage kilométrique. Pour le 1/20000 on avait un carré de 5x5 cm, maintenant, avec le 1/25000 on a un carrs de 4cm de côté.
Ces instruments sont à utiliser à utiliser avec un carroyage kilométrique et des coordonnées kilométriques, pas avec des coordonnées angulaires!!!
Que ce soit du Lambert 72 (en Belgique), du Lambert 1, 2 ou 3 ou du Lambert 2 étendu, de l'UTM machin chose ou du je ne sais quoi, c'est toujours la même chose: pour du 25000, 1 km correspond à 4 cm sur la carte.
Le plus simple est de déplacer ce carré transparent sur la carte et de lire les coordonnées.
Pour l'UTM, il faut utiliser l'horrible grille bleue des cartes compatibles GPS.
On peut utiliser si on veut le système MGRS compliqué, pas du tout intuitif, une invention du professeur Rollin à n'en point douter... pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?

Pour info, j'ai pu aujourd'hui scanner la légende d'une carte IGN 1/25000 récente qui confirme mes assertions.
LE WGS84 est assimilé au RGF93, la précision la meilleure à atteindre d'une carte étant réputée au mieux à 1/1O de mm, soit 2,5 m sur le terrain, les deux systèmes sont alors équivalents.
On remarque que la déclinaison magnétique est indiquée (pendant un temps ce n'était plus le cas et il fallait passer par des sites ou logiciels qui l'a donnait).
Par contre la direction du "Nord Lambert" (direction des lignes du carroyage) ou "convergence des méridiens, n'est plus indiquée, comprenne qui pourra.
Ce qui m'étonne est que les coordonnées Lambert indiquées sont seulement pour le Lambert 1 (local, nord de la France) avec carroyage et pour le Lambert 2 étendue avec uniquement les amorces.
Les coordonnées Lambert 93 ne sont pas (encore) indiquées.
DOC190911-002.jpg
Exif et Meta MicroCartouche DOC190911-002.jpg (74.7 Kio) Vu 4545 fois


Wouazo a écrit:
PierreM a écrit:Je n'utilise que du WGS84. Du Lambert contraint et forcé.

Le Lambert, lequel ? Le WGS84 est associé au GPS.

Le Lambert (ou n'importe quel autre système de projection associé à n'importe quel datum) que me demande mon interlocuteur, ou celui de la carte que j'utilise. En France on peut encore être amené à utiliser des cartes en Lambert nord zone de guerre adopté à la demandé par les artilleurs à la fin de la 1ère guerre mondiale.

Régulièrement je me retrouve avec des coordonnées dont j'ignore à quel datum/projection elles correspondent, c'est pourquoi je préfère l'utilisation exclusive du WGS84.

Par exemple, il y a quelques temps j'ai reçu cette demande :
J'ai une question urgente à te soumettre;
on part au maroc lundi, mais apparemment, les collégues qui ont utilisé le GPS MLRSP24 l'an dernier, ne comprennent pas pourquoi il y a un décalage entre les relevés et les pointages sur les cartes.
Je n'en sais pas plus, mais il y a surement une ruse de sioux pour avoir les coordonnées correctes sur les grilles marocaines.
Je sais pas s'il faut du lambert, de l'utm, etc...
Je ne suis pas très clair dans mes explications, mais peut-être as-tu une astuce là dessus à ma proposer???


Et bien oui, ils ne savaient pas quels systèmes était utilisé dans leurs cartes!!!

Wouazo a écrit:
PierreM a écrit:J'ai une meilleure confiance dans l'altitude GPS que dans un altimètre.

Au départ, il faut caler son altimètre. Faire du parachutisme avec un alti non calé, l’on risque de tirer sur la poignée lorsque l’on a touché la planète ! C’est benêt !
Embarquer un GPS, comme le mien, à bord d’un aéronef, je regarde, si les indications du GPS sont identiques aux instruments de bord, mais c’est tout !

Les naturalistes utilisent rarement un parachute ou un avion pour capturer l'aéroplancton en trainant un filet .
On choisit son GPS en fonction de ses besoins et ses moyens.
Après c'est effectivement la connaissance et la maîtrise du matériel qui compte. Il arrive parfois des choses aberrantes même avec un GPS dédié à la navigation aérienne, par exemple :
Kelowna Charter C-GKFJ - Erreur de navigation (longitudes Est/Ouest) <http://www.securiteaerienne.com/node/90>
Dans l'accident de l'avion présidentiel polonais c'est pire encore <http://www.securiteaerienne.com/node/205> :
L’enquête fait découvrir pèle mêle :
...
- Les GPSs intégrés à l’avionique étaient hors service et les pilotes avaient reçu des GPS portatifs de type Garmin GPSMAP 196
...
- Les réglages altimétriques étaient faux.
...
- Les altimètres de l’avion étaient gradués en pieds alors que les contrôleurs donnaient les altitudes en mètres.


Donc nous n'avons pas avoir trop de complexes.

Amicalement

Pierre M.
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Re: L'utilisation du GPS

Messagede Wouazo » 20 Sep 2011 13:30

Bonjour,
PierreM, je suis entièrement d’accord sur tout, ok pour les carrés UTM. Je viens de numériser une partie d’une carte de l’IGN. Elle porte le nom de « Carte touristique ». Les lignes verticales sont bien parallèles, elles se rejoignent non pas à l’infini mais au pôle Nord ! La ligne 50 au niveau de BL CL change de direction, ce n’est pas très perceptible à cet endroit. La carte était parfaitement ajustée avec le bord de coupe, je n’ai pas triché ou modifié, il y a que la réduction du poids de l’image. L’on peut dessiner les carrés UTM sur une 1 : 25000. Au niveau naturaliste, le S. I. est amplement suffisant. Lorsque je vois les coordonnées de Info Terre (exemple) qui sont en Lambert 2 étendu et qu’il faut que je fasse des calculs pour l’avoir en Degr. Minute, cela m’en - nuie.
Amicalement
W.
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Re: L'utilisation du GPS

Messagede dinajon1 » 30 Aoû 2013 10:57

Bonjour à tous,
Tous vos arguments concernant le GPS sont vraiment intéressants. Les divergences d’opinions m’apprennent quelles conséquences sont bénéfiques pour l’utilisation d’un traceur gps où que ce soit, sur terre, en mer ou dans les airs.
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Re: L'utilisation du GPS

Messagede bino » 01 Sep 2013 12:28

Bonjour,

Après une lecture attentive de tous les messages précédents, je me permets d'intervenir sur quelques points qui ne me semblent ne pas avoir été abordés.

Tout ce qui suit concerne les GPS fabriqués pour le grand public, dans des versions portables, et destinés à une utilisation en randonnée.

Tout d'abord, et en ce qui concerne l'obtention d'une altitude précise, n'oubliez pas que certains GPS incorporent un altimètre électronique à capsule barométrique, bien plus précis que le calcul 3D du mode GPS.

A condition de bien savoir étalonner cet altimètre-baromètre, en fonction de la pression atmosphérique, sur le lieu de mesure, et en renouvelant ce calage au moins toutes les trois heures, ou bien à chaque occasion (lors du passage par un point qui est côté sur la carte).

Certains GPS incorporent également un compas magnétique fluxgate, qui peut dépanner dans les zones où la réception GPS est trop mauvaise.

De plus, et contrairement à la fonction GPS, ce compas électronique fonctionne même quand l'on est à l'arrêt (il continue à donner les directions du Nord et des autres points cardinaux).

Certains GPS, en plus des heures des levers et des couchers du Soleil et de la Lune, affichent aussi, en temps réel, le site et l'azimut de ces deux corps célestes, sous une forme graphique (radar 360°).

Cette fonction peut aussi dépanner, pour s'orienter, en cas de perte du signal GPS et/ou du compas fluxgate (s'il est présent).

En ce qui concerne la précision du positionnement GPS, en un lieu donné, il est possible d'améliorer progressivement cette dernière en laissant l'appareil cumuler les mesures, pendant un temps de quelques minutes ou dizaines de minutes, sans le déplacer.

Naturellement, si seulement trois satellites sont bien placés, la mesure ne sera jamais très précise.

Certains GPS incorporent les fonctions WAAS (utilisable sur le territoire des USA) et/ou EGNOS (utilisable en Europe), qui donnent une précision courante de l'ordre du mètre.

Encore faut-il penser à activer cette fonction (située quelque part dans les menus), et ne pas oublier qu'elle dépend de satellites placés sur l'orbite géostationnaire, ce qui impose de bénéficier d'un très bon dégagement vers le sud, pour pouvoir capter les signaux émis.

En fait, ces fonctions sont surtout destinées à l'aviation (le dégagement vers l'orbite géostationnaire n'est alors plus un problème), mais elles peuvent rendre service, dans des conditions optimales déjà mentionnées, notamment en mer (puisque l'horizon sud est toujours dégagé, une fois éloigné des côtes).

Activer l'une des ces deux fonctions augmente fortement la consommation électrique du GPS (jusqu'à la doubler).

Par contre, je rappelle que la plupart des GPS ont une fonction "mode économique" qui permet de nettement augmenter l'autonomie électrique, le GPS ralentissant alors son rythme d'actualisation de la position courante.

Je termine ce texte en rappelant que tous les GPS ne se valent pas, même en se limitant à la version portable pour le grand public, et je connais des gens, grands utilisateurs de GPS, qui ont été très déçus par certains modèles récents, de marques très connues, au point de les revendre, et de revenir à des modèles antérieurs (trouvés d'occasion) qui avaient donné toutes satisfactions.

Enfin, et notamment en dehors de l'Europe et des principaux pays occidentaux, il faut se rappeler que la précision des cartes, mêmes les versions dites topographiques, peut laisser à désirer et être bien inférieure à celle du GPS.

Donc, avant d'accuser votre GPS d'imprécision, il faut se demander si ce n'est pas la carte qui serait un peu "floue" dans les coordonnées des données y figurant.

En matière de cartes marines, par exemple dans le Pacifique, l'erreur peut se compter en dizaines de mètres, parfois la centaine de mètres, et le SHOM attire l'attention des navigateurs sur ce risque.

Pour mémoire, une fois que l'on est en pleine nature, et surtout dans des endroits isolés, confier sa personne à uniquement un GPS n'est pas prudent. La boussole et la carte devraient toujours être présents, comme "backups", en veillant à régulièrement pointer (sur la dite carte), la position courante donnée par le GPS (tant qu'il fonctionne).

Cordialement,

Bino
Dernière édition par bino le 01 Sep 2013 13:23, édité 1 fois.
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Re: L'utilisation du GPS

Messagede bino » 01 Sep 2013 13:22

Bonjour à tous,

Je ne voulais pas trop allonger mon message précédent, et je le complète donc ici, avec une petite astuce qui peut vous permettre une très haute précision de positionnement, y compris avec un simple GPS portable du grand public.

Elle est plus facile à réaliser avec au moins deux personnes, mais elle peut être envisagée quand l'on est tout seul.

Commençons avec le cas d'un travail en équipe, donc au moins à deux.

L'une des deux personnes reste avec son GPS, en un point géographique précis et dont la position est connue avec la plus grande précision cartographique (et donc géographique) possible : borne IGN, lieu ponctuel répertorié, etc.

Cette même personne reste en contact avec l'autre, celle qui est sur le terrain, et par très loin (quelques kilomètres tout au plus), au moyen d'un téléphone portable, d'un talkie walkie PMR, etc.

Cette autre personne, qui dispose également d'un GPS, quand elle effectue un relevé GPS de position, en informe celle qui est en point fixe et qui en fait alors de même.

Ainsi, l'on dispose d'un couple de mesures GPS simultanées, en deux lieux distincts mais proches, ce qui implique que ce sont les mêmes signaux qui ont été reçus et exploités.

En comparant la position donnée par le GPS situé en point fixe avec les coordonnées réelles (cartographiques) de ce même point fixe, l'on peut voir si la position GPS est affecté d'un décalage et si oui, sa nature précise (en longitude comme en latitude).

L'obtention de ce décalage, et son exploitation pour corriger la mesure faite par la personne mobile, permet d'obtenir une meilleure précision de cette mesure, en annulant l'écart initial (entre la position GPS et la position réelle, celle qui est cartographique).

Bien entendu, ce système n'est valable que pour des couples de mesures relevés en simultané, et en appliquant à chaque fois une correction qui sera normalement différente, d'une fois à l'autre (puisque l'imprécision de la mesure GPS n'est pas fixe dans le temps, en direction comme en importance).

Une précaution est indispensable : ne pas faire la mesure en même temps que le moyen de communication entre les deux personnes est en service, pour ne pas perturber la réception du GPS.

Et si l'on est seul ?

Cette fois, l'on introduit un décalage temporel entre le relevé de position au point fixe et ailleurs, puisqu'il faut se déplacer, à chaque fois, entre les mesures faites au point fixe et celles relevées ailleurs, ce qui diminue la précision de l'opération, surtout au-delà de quelques minutes de délai.

Par contre, si l'on dispose d'un moyen d'enregistrement en continu de la position au point fixe (ordinateur portable avec une clé GPS USB et un logiciel), il suffit de penser à noter l'heure précise de chaque mesure qui est faite dans la nature.

Après coup, l'on procède comme dans le cas précédent (comparaison entre les positions GPS et réelle du point fixe; calcul de l'écart et utilisation de cet écart pour corriger la mesure de position faite ailleurs).

Dans tous les cas, il est intéressant de commencer par faire une mesure comparative des positions affichées par les deux GPS, quand ils sont côte à côte. Si un décalage permanent est notable, il faudra ensuite en tenir compte, comme une correction (en latitude et en longitude) de plus à appliquer.

J'espère avoir été compréhensible, dans toutes mes explications.

Tout ce qui précède est une version économique, et bricolée avec des moyens simples (deux GPS standards), du travail en mode DGPS (GPS différentiel). Le WAAS et/ou l'EGNOS du pauvre, en quelque sorte.

Sinon, ayez encore un peu de patience car, dans quelques années, le système Galileo sera pleinement fonctionnel, et la précision sera alors métrique (une position exacte au mètre près).

Cordialement,

Bino
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Re: L'utilisation du GPS

Messagede bino » 06 Sep 2013 07:47

Bonjour à tous,

Un complément (à mes deux messages précédents).

J'ai rapidement fait quelques calculs, que j'espère exacts, en ce qui concerne d'autres moyens de positionnement (que le GPS), et leur précision possible.

Se positionner avec un compas magnétique, en effectuant des relevés d'azimuts sur des points remarquables, pour effectuer une triangulation, est envisageable.

La précision angulaire (avec un compas de relèvement à visée optique, pour le grand public) est celle du demi-degré, qui est donc l'incertitude moyenne (à condition que des facteurs autres ne viennent pas s'ajouter : déclinaison, déviation, etc.).

Si les points visés sont situés à mille mètres de distance, cette imprécision angulaire d'un demi degré se traduit par une imprécision latérale d'environ 9 mètres. Cette valeur est directement proportionnelle à la distance des points visés.

Dans les mêmes conditions (des points visés qui sont situés à mille mètres), employer un sextant, pour faire des relevés angulaires horizontaux, entre des points remarquables, toujours à des fins de positionnement, au moyen de la triangulation, permet une précision de la minute d'arc.

Théoriquement, cela assurerait donc une imprécision de quelques dizaines de centimètres, tout au plus.

Sous réserve de conditions optimales : un sextant précis et bien étalonné, des points remarquables bien placés et très définis (balise géodésique, pic acéré...), une carte à très petite échelle et précise, et des moyens de traçage (des relèvements) également très précis.

Outre le report de position sur une carte, la même méthode peut aussi servir directement sur le terrain, pour vérifier que l'on est bien là où l'on veut être (ou bien revenir).

Plus généralement, la précision métrique semble régulièrement et fiablement possible, avec cette méthode.

Hormis des cas très particuliers, cette précision métrique me semble plus que suffisante, pour des occupations et des activités comme les nôtres.

Bien entendu, encore faut-il avoir un sextant sous la main, le trimballer dans la nature, faire les relevés et les noter...

Bref, plus de complications qu'avec un GPS, mais une précision notablement supérieure (à celle d'un GPS pour le grand public).

Si cela peut servir à certains d'entre nous...

Cordialement,

Bino
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