Juste !
Idem dans La Double en Périgord... MAIS il y a une marge entre Napoléon III (les paluds des Landes) et Macron 1er et il y a à revisiter les arguments facilement appelés pour des raisons que j'ignore (nous dédouaner, dédouaner nos parents, justifier nos excès ?).
Entre le paysage bocager d'Ille et Vilaine (début des années soixante) rempli d'oiseaux et la désolation qui s'est ensuivie après les "louables" primes à l'arrachage des haies (remembrement irraisonné et forcené)... sans compter la multiplication des "alertes inondations" dont mes grand-parents (pas écologistes dans le sens où on l'entend maintenant, mais simples témoins tenant la cabine téléphonique du village) se plaignaient car c'était à eux de prévenir les riverains. Et, pourtant c'était pour le fameux progrès (gros tracteurs, c'était à qui aurait le plus gros ! grands élevages de veaux et porcs ...) pour l'augmentation des rendements et pour le bien de tous et remplir nos assiettes à faible coût.
Le maintien des haies entourant les parcelles nouvellement recréées aurait pu être obligatoire, non ? Ben non, fallait gagner le moindre mètre carré.
Faudra t'il boucher toutes les mares du fait du moustique tigre ?
En Livradois, fin des 60', Gaston, paysan de son état, tirait au fusil sur les buses (c'est de là que vient mon pseudo.)... il pensait bien faire et n'était pas le seul.
Ceci dit mon exemple des zones humides est le premier qui m'est venu à l'esprit... si on veut aider la nature il n'est qu'à se rapprocher d'asso. qui oeuvrent en ce sens.