Bonjour à tous.
Suite à la suggestion de Gérard-Breton (que je remercie à nouveau, et qui sera peut-être intéressé par ce que je montre ci-dessous), j'ai lu le livre de J-J Kupiec, L'ontophylogenèse, et j'ai même commencé par lire Ni Dieu, ni gène, que j'avais acheté il y a une dizaine d'années mais que je n'avais jamais lu, rebuté par l'épistémologie, qui n'est pas ma tasse de thé. C'était une erreur de ma part puisque s'il y a un changement de paradigme, il doit forcément y avoir une réflexion épistémologique. Je viens de commander le livre suivant, L'origine des individus. Il faudra au moins cela pour arriver à comprendre cette nouvelle façon de voir les choses.
Comme parallèlement je lis Nietzsche, j'ai trouvé ce matin dans le dernier livre que je n'avais pas encore lu, La volonté de puissance, un passage qui m'a étonné (paragraphe 279, p305-307). J'ignore si Nietzsche fut le premier au XIXème siècle a avancer ce genre d'idées. On sait en revanche que Nietzsche avait lu Darwin (c'est l'objet d'un livre, Nietzsche's New Darwinism).
J'ignore aussi si J-J Kupiec a lu Nietzsche. Si les expérimentateurs apportent suffisamment de résultats confirmant l'hypothèse de Kupiec, on parlera surement de cela dans les livres d'Histoire des Sciences.
Et pour ma trouvaille de ce matin, comme l'aléatoire est au centre de la théorie, je dirais que "le hasard fait bien les choses". Mais il n'y a que les spécialistes qui pourraient dire si mon observation est vraiment opportune.