Le Naturaliste

Bonjour,
Je suis un nouveau membre de ce forum.
Je suis étudiant en biologie à Toulouse et mon rêve serait de devenir bryologue.
J'ai un microscope et une binoculaire, de la biblio et je récolte le plus souvent possible.
Je suis à la recherche d'un stage en bryologie n'importe où en France.
Je cherche aussi des personnes pour faire du terrain entre Bordeaux et Toulouse les deux villes où j'habite.

Utilisateur nomade (via mobile device)

Bonjour et bienvenu.
Je suppose que tu es abonné aux Lettres d'actualités de Tela Botanica et des Bryophytes de France ?
http://www.tela-botanica.org/
http://www.bryophytes-de-france.org/

Sinon, il est toujours utile d'avoir les meilleurs contacts avec les laboratoires universitaires de tes régions. C'est un peu bête à dire, mais pas mal d'étudiants en Licence ne fréquentent que l'amphi, et délaissent les labos. Il faut savoir s'y inviter, avec diplomatie, dès le début des études. C'est également une bonne méthode pour comprendre ce que les profs attendent de toi, et réciproquement.

Bonjour Nils et bienvenue sur le Naturaliste !
Il y a également des stages de bryologie proposés au château des Rubins à Sallanches...

Bonjour et bienvenue,
a coté des labos universitaires, dans le domaine des sciences naturelles, il faut être en relation avec les sociétés savantes et les structures professionnelles comme les conservatoires botaniques .
dans l'ouest, il faut contacter la SBCO, société botanique du centre ouest.
http://www.sbco.fr/
Le terrain est la meilleure façon de progresser dans le domaine naturaliste et en bryologie en particulier.
Il y a presque chaque année une session de bryologie encadrée par les spécialistes que sont Vincent Hugonnot et Jaoua Celle.

Malheureusement, ils travaillent au CBN Massif Central. Ce n'est pas proche de Toulouse, mais ils accueillent des stages de master en bryologie sur le site de Chavaniac-Lafayette près du Puy en Velay.

Bonjour Yves, tous,
tu nous indiques la un des paradoxes de l'accès à l'information à l'ère du numérique.
Alors que la facilité de copie devrait aller dans le sens d'une démocratisation de l'information.
On constate des augmentations de prix des revues numériques.

Cependant, comme à l'époque des bibliothèques papiers il y avait des échanges de tirés à part, par contact direct avec les auteurs, on peut souvent avoir accès à des pdf.
De mème, les bibliothèques universitaires sont souvent abonnées aux revues et les chercheurs et étudiants peuvent consulter les informations sans bourse délier.

Est ce que Nils pourrait nous indiquer si il a accès à ces documents depuis sa bibliothèque universitaire?
Quels ouvrages de bryologie utilise t il?
Quelle est la part de documentation sur papier qu'il consulte?
Il est en tout cas un utilisateur assidu d'internet puisqu'il a sollicité notre forum, et envoyé également un message sur la liste Tela bryophyta

Bonjour !

Daniel a écrit:Alors que la facilité de copie devrait aller dans le sens d'une démocratisation de l'information.
On constate des augmentations de prix des revues numériques.

C'est d'autant plus rageant que les chercheurs sont payés par des institutions, alors que les revues scientifiques cotées sont privées et vendent des travaux totalement dépourvus de droits d'auteurs, les éditeurs en situation de monopole se retrouvant de fait les uniques ayant droit !

Une situation scandaleuse à l'origine de la Library Genesis, où malheureusement les sciences naturelles sont assez peu représentées...

Bonjour,
Il y a la société linnéenne de bordeaux
http://linneenne-bordeaux.wixsite.com/slbx
Cordialement
Hervé

6le20 a écrit:C'est d'autant plus rageant que les chercheurs sont payés par des institutions, alors que les revues scientifiques cotées sont privées et vendent des travaux totalement dépourvus de droits d'auteurs, les éditeurs en situation de monopole se retrouvant de fait les uniques ayant droit !

La faute à qui?? Les Institutions n'ont qu'à le faire, rien ne l'interdit !!
Mais comme toujours, quand ce n'est pas le manque de volonté, c'est le fiasco parce que mal géré!

Heureusement que le privé est là pour sauver la mise !