Bonjour Daniel.
Merci pour ton appréciation.
Sur cet empilage, le choix était de montrer la « décoration » de la cuticule dorsale.
Pour avoir tous les plans optiques de la bestiole, il eut fallu faire plus d’une vingtaine de clichés pour récupérer les plans optiques nets de chaque épine ; possible mais alors on perd la notion d’épaisseur du spécimen et on se trouve à un excès d’information sur l’image finale qui, au moins esthétiquement parlant, est préjudiciable ?
Pour exemple : voir mes deux empilements récents d’une ARCELLA : le premier cliché est une sélection des 7 premiers plans optiques du niveau de la base et de la zone adorale de la thèque ; le deuxième cliché est un empilement de la série complète des 14 plans optiques : lequel des deux donne une notion de « profondeur » ?
Et sur le second cliché : tout un chacun d’entre nous ( adeptes de ce site incomparable
) avons l’aptitude de comprendre la représentation d’un volume en 2 dimensions... OK, mais va donc expliquer à un enfant ou a un simple curieux que la petite bête sur la photo est pratiquement aussi « épaisse » que large ?
Mais ça n’est que mon humble avis
Utilisateur nomade (via mobile device)
Cordialement. Yves ( celui des Côtes d'Armor ).
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Micro : LEICA DM6000B optiques PL APO / DIC / CP / Fluo ; cam DIGIRETINA 16 / APN CANON 600D Micro "de voyage" : NACHET NS200 Bino : KYOWA ; cam Industrial Digital 5Mp
En collection NACHET : une quarantaine de micros ; 1850 jusqu'en 1960
Et toujours à la recherche d'un NACHET 400 fonctionnel ou pas !