Bonjour Bernard Je ne suis pas spécialiste des Stentor mais j'ai me semble-t-il deux espèces dans mon prélèvement, des S. coeruleus et S. roeselii, c'est le premier ( le bleu) qui s'étire autant ( approximativement de 2 ou 3 mm d'après le grossissement et le champ observé) mais la mesure est impossible... seule la vidéo permet d'aller "d'un bout à l'autre". Un exemple "moins long"
Bonjour A propos de ces ciliés "extensibles" on peut se demander si nos "conditions de détention entre lame et lamelle" ne sont pas en cause; nos conditions d'observations sont loin d'être naturelles surtout pour des stentors qui font plusieurs centaines de microns... ?
michel17 a écrit:Bonjour Yves Le mien est bien plus long...
Pfffff ! Même pas jaloux
Cordialement. Yves ( celui des Côtes d'Armor ). _____________________________________________________________________________________________________________ Micro : LEICA DM6000B optiques PL APO / DIC / CP / Fluo ; cam DIGIRETINA 16 / APN CANON 600D Micro "de voyage" : NACHET NS200 Bino : KYOWA ; cam Industrial Digital 5Mp En collection NACHET : une quarantaine de micros ; 1850 jusqu'en 1960 Et toujours à la recherche d'un NACHET 400 fonctionnel ou pas !
Bonjour, Pour V. coeruleus, Foissner indique "individus allongés in vivo jusqu'à 4 mm, généralement 1-2 mm de long". Je ne savais pas que de telles élongations étaient possibles pour Stentor, bien comparables à celles de Lacrymaria. Dans ce cas, je ne pense pas que l'effet de l'espace réduit entre lame et lamelle ait une influence significative sur l'extension. Vu que ces protos sont très grands, ils sont facilement observables au bino dans une goutte d'eau, donc un tel effet aurait été reporté dans les diverses publications.
... juste une dernière et puis j'arrête ... pour vous montrer la possibilité d'assemblage "automatique" d'images lorsque le champ est trop petit ( logiciel Tucsen Mosaic 2.4).