Daniel a écrit:En ce qui concerne les identifications génétiques, elles sont loin d'être la routine, même parmi les naturalistes professionnels. Comme je l'ai écrit, malgré ses inconvénients, la morphologie a encore de beaux jours devant elle.
OUF ! J'en suis rassuré ! Je lis en ce moment le tome 3 de Bourrelly, et je me dis que pour les naturalistes que nous sommes, même si il est très gratifiant de pouvoir arriver à nommer l'espèce, le plus important et une une observation de qualité. Personnellement je me contenterais d'une observation minutieuse et bien décrite, quitte à ne pas trouver le nom à mettre dessus...
J'ai aussi un peu le sentiment parfois que chaque spécialiste aime bien donner son nom à tel ou tel bébête, histoire de rester dans l'histoire, et que cela conduit à une inflation d'espèces...
Sur l'aspect génétique, ce serait intéressant d'en discuter dans un autre fil mais je pense que cela conduit à d'autres difficultés de taille !
Désolé Bertrand pour ces considérations intercalaires qui ne font pas avancer ton schmilblick !